jeudi 24 mars 2011

Quelques temps plus tard...

Ceci est un article dédicacé aux quelques fidèles lecteurs qui cliquaient nerveusement depuis un mois en se demandant si leur connexion ne foirait pas encore (maman, tout va bien...)
Tout ça pour dire qu'aujourd'hui, ça y est, je sors de mon hibernation...
Voilà, je m'étire, je baille un coup... et je reprends le droit chemin du clavier.
Avec les premiers bourgeons qui pointent le bout de leur nez, les grues qui remontent dans le grand Nord et tous les autres minuscules détails associés au printemps, il était temps.
Et oui, vivre à la campagne (même relative), ça ouvre les yeux sur les mystères de Dame Nature. Ceci dit, je suis sûre qu'en ville aussi il y a des signes qui n'échappent à l'oeil affûté des braves citadins : le duffle-coat cède la place au trench, les ballerines ne vont pas tarder à sortir du placard et, dites-moi, les terrasses de café ne commenceraient pas à se remplir par hasard ?
Mais fi de ce ton léger !
L'heure est grave mes amis, et j'ai du boulot sur la planche!
Et oui, malgré toutes les idées reçues que l'on peut avoir, la Terre ne s'arrête pas de tourner quand on dort. Ni de trembler.
Je vous rassure, je ne vais pas disserter sur les malheurs de ce monde ou bien encore ergoter sur le débat remis au goût du jour par les derniers évènements, à savoir : "Pour ou contre le nucléaire ?", mais je tenais par cette incise à symboliser une sorte de minute de silence écrite.
....
Voilà, c'est fait.

Passer du printemps au Japon, c'est bizarre, ça vous coupe toute envie.
Ya des fois comme ça où on apprend à relativiser.
Moi je dis ça, et pour le coup, je rajoute rien. Ah si, à très vite, alors!

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